B A BA

Alors la 'tite Sauge qui n'a jamais fait de la sourcellerie une spécialité, aimerait bien profiter de cette arrivée massive de sourciers pour en savoir un peu plus....

donc Messieurs, voilà, vous avez un terrain sous le nez (j'aime bien travailler sur plan, pépère au chaud en hiver, au frais en été, une tasse de thé ou un jus de fruit à portée de main... )

on vous dit, j'aimerai bien un puits , vous faites quoi ????

On appele Didier...

En attendant Didier, on demande le plan du terrain (quand on est à distance)...

Sinon, à part Didier, (qui travaille à main nue) et Bluelias, (qui lui, utilise une godasse), en principe, on utilise les baguettes ou le tenseur...
Plus, evidemment, une convention mentale , propre à chacun...
( Y'en a même qui se servent du pendule)
Jusque là, pas de souci, tu suis..

euh... j'ai tendance aussi à travailler à mains nues, la godasse pourquoi pas ??? mais alors quelle sorte ???? la pataugas, la santiag (on peut la remplir quand on a trouvé l'eau), un godillot de militaire peut-être, mais ça doit manquer de souplesse, un vieux croquenot du grand-père, c'est plein d'expériences... ou encore une bête tong, c'est souple et léger.... ????

Nan, ta godasse en l'occurence, et toi, tu travailles pieds nus dans ce cas...
Donc, tu cherches les veines d'eau "productives" ( pour un puits, il vaut mieux) ... tu glisses tout ça dans ta convention mentale, en n'oubliant pas d'éviter les remanences....
Et comme tu as déjà le ressenti dans tes mains ou ton corps, tu quadrilles le terrain, à la recherche des veines perdues...
Je laisse mes petits camarades prendre la suite, en expliquant comment éviter les couches d'argile, et se depatouiller avec le signal du sourcier, et les échos divers et variés...

Je laisse mes petits camarades prendre la suite, en expliquant comment éviter les couches d'argile, et se depatouiller avec le signal du sourcier, et les échos divers et varies

je comprends mieux maintenant pourquoi je n'ai jamais approfondi.....

messieurs je suis toute ouïe...

Tu prends une pierre,tu la jettes en l'air et tu creuses là où elle est tombée.

Il parait que certains sourciers font comme ça.

Ils ont des résultats...

Ou d'autres comme ça:

http://un-sourcier-dans-le-gers.over-blog.com/

Mais c'est plus complexe à expliquer..

Si ton terrain n'est pas très grand,que tu en connais les limites et que tu n'as pas fait de recherche sur plan,tu peut commencer ta recherche en arpentant sur toute la périphérie.
Ainsi,en étant munie de LA convention mentale qui va bien tu croisera la ou les veines qui le traversent si toutefois il y a de l'eau dans le sous-sol de ton terrain.

Maintenant si c'est un très grand terrain et que tu n'as toujours pas fait de recherche sur plan,il faut faire travailler son instinct et on peut aussi se servir de sa baguette comme d'une antenne pour trouver une direction où chercher.

Moi je fais comme ça,toi tu fais comme tu le sent.

En sourcellerie les méthodes des autres amènent de l'eau à notre moulin.Mais il ne faut pas les "copier/coller".
Il faut profiter du bien fait qu'elles apportent tout en travaillant soit-même.C'est le résultat qui compte.