L'art de communiquer
3 participants
Vibrations ... :: Divers :: Général
Page 1 sur 1
L'art de communiquer
Un petit clin d'oeil, en passant :
Me rappelle plus d'où ça vient, tant pis pour le copyright
- Entre ce que je pense,
ce que je veux dire,
ce que je crois dire,
ce que je dis,
ce que vous voulez entendre,
ce que vous entendez,
ce que vous croyez comprendre,
ce que vous voulez comprendre
et ce que vous comprenez,
il y a au moins neuf possibilités de ne pas s’entendre...
Me rappelle plus d'où ça vient, tant pis pour le copyright
Re: L'art de communiquer
Moi j'aime bien cette citation, je sais plus de qui s'est, et je crois que la dernière phrase fluctue suivant les sources. mais j'aime bien.
dans un contexte amical cela permet des discussions enrichissantes et si ça vire à l'orage c'est que les egos sont sortis ....
gageons qu'ici le contexte est amical, d'abord on est entre nous et même si je ne suis là que depuis hier je trouve l'ambiance super, entre le sérieux des propos et la déconnade ambiante...
Longue vie à vibrations...!
dans un contexte amical cela permet des discussions enrichissantes et si ça vire à l'orage c'est que les egos sont sortis ....
gageons qu'ici le contexte est amical, d'abord on est entre nous et même si je ne suis là que depuis hier je trouve l'ambiance super, entre le sérieux des propos et la déconnade ambiante...
Longue vie à vibrations...!
sauge- Nombre de messages : 371
Age : 68
Localisation : en route
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: L'art de communiquer
Francis Werber, ma chère ayla, "encyclopédie du savoir relatif et absolue" Tome 1.
Un must qu'il faut avoir lu (je le pense) avant de commencer sa propre encyclopédie.
J'en suis à mon troisième cahier-->qui dit mieux? (Et la réponse n'est pas : "mieux"!)
Un must qu'il faut avoir lu (je le pense) avant de commencer sa propre encyclopédie.
J'en suis à mon troisième cahier-->qui dit mieux? (Et la réponse n'est pas : "mieux"!)
Invité- Invité
Re: L'art de communiquer
Alors il l'a repris, parce que je l'ai depuis quelques décennies, ce morceau-là.
Il avait paru dans un quotidien genevois qui n'existe plus depuis le 31 mars 1994.
Mais peu importe au fond.
Et puis ne serait-ce pas Bernard Werber, mon cher Claus ? A ne pas confondre avec Francis Weber...
Il avait paru dans un quotidien genevois qui n'existe plus depuis le 31 mars 1994.
Mais peu importe au fond.
Et puis ne serait-ce pas Bernard Werber, mon cher Claus ? A ne pas confondre avec Francis Weber...
Re: L'art de communiquer
C'est certainement parce que j'ai dû l'écrire avant lui et j'ai pas du supporter qu'il me le pique, non, je rigole!
Oui, c'est Bernard. Merci Bernard.
Francis, c'est l'auteur de la série des "François Pignon".
Merci Ayla-je vois que tu me traques toujours et c'est bien.
Oui, c'est Bernard. Merci Bernard.
Francis, c'est l'auteur de la série des "François Pignon".
Merci Ayla-je vois que tu me traques toujours et c'est bien.
Invité- Invité
Re: L'art de communiquer
Un autre que j'aime bien aussi, sur la communication :
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement,
et les mots pour le dire arrivent aisément"
Je suis sûre que tu vas savoir qui en est l'auteur, moi, j'ai un blanc.
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement,
et les mots pour le dire arrivent aisément"
Je suis sûre que tu vas savoir qui en est l'auteur, moi, j'ai un blanc.
Re: L'art de communiquer
Et pendant qu'on y est, je ne résiste pas :
LA MARCHE D'UN MOT, de Victor Hugo
Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites !
Tout peut sortir d'un mot qu'en passant vous perdîtes ;
Tout, la haine et le deuil !
Et ne m'objectez pas que vos amis sont sûrs et que
vous parlez bas.
Écoutez bien ceci :
Tête-à-tête, en pantoufle,
Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle,
Vous dites à l'oreille du plus mystérieux
De vos amis de cœur ou, si vous aimez mieux,
Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire,
Dans le fond d'une cave à trente pieds sous terre,
Un mot désagréable à quelque individu.
Ce mot - que vous croyez qu'on n'a pas entendu,
Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre –
Court à peine lâché, part, bondit, sort de l'ombre ;
Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin ;
Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main,
De bons souliers ferrés, un passeport en règle ;
Au besoin, il prendrait des ailes, comme l'aigle !
Il vous échappe, il fuit, rien ne l'arrêtera ;
Il suit le quai, franchit la place, et caetera
Passe l'eau sans bateau dans la saison des crues,
Et va, tout à travers un dédale de rues,
Droit chez le citoyen dont vous avez parlé.
Il sait le numéro, l'étage ; il a la clé,
Il monte l'escalier, ouvre la porte, passe,
Entre, arrive, et railleur, regardant l'homme en face,
Dit : " Me voilà ! Je sors de la bouche d'untel."
Et c'est fait. Vous avez un ennemi mortel.
LA MARCHE D'UN MOT, de Victor Hugo
Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites !
Tout peut sortir d'un mot qu'en passant vous perdîtes ;
Tout, la haine et le deuil !
Et ne m'objectez pas que vos amis sont sûrs et que
vous parlez bas.
Écoutez bien ceci :
Tête-à-tête, en pantoufle,
Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle,
Vous dites à l'oreille du plus mystérieux
De vos amis de cœur ou, si vous aimez mieux,
Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire,
Dans le fond d'une cave à trente pieds sous terre,
Un mot désagréable à quelque individu.
Ce mot - que vous croyez qu'on n'a pas entendu,
Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre –
Court à peine lâché, part, bondit, sort de l'ombre ;
Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin ;
Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main,
De bons souliers ferrés, un passeport en règle ;
Au besoin, il prendrait des ailes, comme l'aigle !
Il vous échappe, il fuit, rien ne l'arrêtera ;
Il suit le quai, franchit la place, et caetera
Passe l'eau sans bateau dans la saison des crues,
Et va, tout à travers un dédale de rues,
Droit chez le citoyen dont vous avez parlé.
Il sait le numéro, l'étage ; il a la clé,
Il monte l'escalier, ouvre la porte, passe,
Entre, arrive, et railleur, regardant l'homme en face,
Dit : " Me voilà ! Je sors de la bouche d'untel."
Et c'est fait. Vous avez un ennemi mortel.
Re: L'art de communiquer
Ayla a écrit:
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement,
et les mots pour le dire arrivent aisément"
Je crains le pire! Je suis tellement en accord avec ça, que j'aurai presque pu l'écrire.
Invité- Invité
Re: L'art de communiquer
Gougole est mon ami :
Nicolas Boileau, dit aussi Boileau-Despréaux, le « législateur du Parnasse » (né le 1er novembre 1636 à Paris et mort le 13 mars 1711 à Paris), est un poète, écrivain et critique français.
Nicolas Boileau, dit aussi Boileau-Despréaux, le « législateur du Parnasse » (né le 1er novembre 1636 à Paris et mort le 13 mars 1711 à Paris), est un poète, écrivain et critique français.
Re: L'art de communiquer
Ayla a écrit:
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement,
et les mots pour le dire arrivent aisément"
Boileau, ça marche avec
"cent fois sur le métier remettez votre ouvrage"
mais Ayla a trouvé
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement,
et les mots pour le dire arrivent aisément"
Boileau, ça marche avec
"cent fois sur le métier remettez votre ouvrage"
mais Ayla a trouvé
sauge- Nombre de messages : 371
Age : 68
Localisation : en route
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: L'art de communiquer
Ouuuuf! Ce n'est pas de moi.
J'ai retrouvé mon post et j'adhére totalement à Boileau, et ce dernier résume en deux lignes, ma pensée, le style en plus.
J'ai retrouvé mon post et j'adhére totalement à Boileau, et ce dernier résume en deux lignes, ma pensée, le style en plus.
Invité- Invité
Vibrations ... :: Divers :: Général
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum