Le défi du jour

J'ai lu ceci :
vous prenez une bassine d'eau
vous placez une goutte d'huile au centre
et par la force de la pensée, vous déplacez la goutte d'huile.

Faudrait vraiment être dingo pour croire que c'est possible !

Et pourquoi pas ?

Nous sommes capables de faire d'autres choses bien plus utiles.

Ca c'est un truc pour Goupil...

Allez maitre renard, notre testeur fou, tu en penses quoi ?

Pour ma part je dis comme JP, et pourquoi pas...

Moi, je dis, que la goutte d'eau va se mouvoir. Si elle va dans la même direction que celle voulue par le testeur, il va penser que c'est lui. Si elle va à l'inverse, il va dire que c'est son guide qui s'amuse.

Je confirme, ça marche , ça se déplace.

Moi aussi, je confirme. Et c'est joli.

Je teste aussi et vous donnerais mes impressions.

Premier essai : raté.
Au contraire, l'huile s'est divisée dans toutes les directions.
Je devais avoir une bombe atomique dans la tête ...

J'essaierai à nouveau plus tard.

N'a de limite que notre imagination!!!!!!!!!!!!
Essayez de la désintégrer comme Fagus et de la reconstituer ensuite.
Raymond

FAGUS a écrit:Premier essai : raté.
Au contraire, l'huile s'est divisée dans toutes les directions.
Je devais avoir une bombe atomique dans la tête ...

J'essaierai à nouveau plus tard.

Ça me fait aussi la même chose
Raymond a une bonne idée.A tester puisque on arrive à casser la goutte,on peux peut-être la reconstituer

Heu, les gars, la goutte explosée se reconstitue toute seule, naturellement. Il faut juste lui laisser le temps. C'est joli à observer et ça raconte tout un monde vivant, de molécules, de mécanique des fluides...

Prenez une grosse goutte d'huile dans la quelle on voit plusieurs gouttes d'eau. Petit à petit, les gouttes d'eau fusionnent, ne formant plus qu'une. Celle-ci finit par créer une ouverture dans la goutte d'huile qui se reforme elle-même en grosse goutte unique. Même procédé autour. Ainsi de suite...

En observant, on a vite fait de deviner quel sera le prochain mouvement, la prochaine opération. Il suffit de croire qu'on y est pour quelque-chose et l'action naturelle devient une action de la pensée. Comme un enfant. Mais, si, dans la même opération, on se contente de lancer l'observation par une simple caméra, il se passera la même chose. Il se trouvera toujours quelqu'un pour penser que la caméra a agi sur l'huile